[1] |
Voy., pour un historique, J. Hansenne, « L'acquisition forcée de la mitoyenneté », note sous Cass., 2 juin 1977, R.C.J.B., 1978, pp. 443 et s. ; P. Lecocq, Manuel de droit des biens, tome I - Biens et propriété, Collection de la Faculté de droit de l'Université de Liège, Bruxelles, Larcier, 2012, p. 257 ; P.-P. Renson, « Le point sur l'accession immobilière et la mitoyenneté », in P. Lecocq (sous la direction de), Chronique de jurisprudence en droit des biens, Formation permanente CUP, vol. 104, Liège, Anthemis, 2008, p. 195 et les références citées par l'auteur note 275. |
[2] |
Voy. Cass., 2 juin 1977, R.C.J.B., 1978, p. 440. |
[3] |
Voy. J. Hansenne, Les Biens, Précis, Liège, Collection scientifique de la Faculté de droit de l'Université de Liège, 1996, tome II, p. 988. |
[4] |
Voy. J. Hansenne, Les Biens, Précis, op. cit., p. 987 et les références citées à la note 130. L'auteur précise que c'est donc à ce moment que naît l'état de mitoyenneté et qu'il y a lieu de se placer pour apprécier la valeur du mur et du sol. |
[5] |
Voy. Cass., 28 juin 2001, Larcier cass., 2001, p. 255. |
[6] |
Voy. Cass., 22 juin 1990, Pas., 1990, p. 1212 ; Cass., 2 septembre 1994, Pas., 1994, p. 681 ; Cass., 4 décembre 2003, J.J.P., 2004, p. 386 ; Cass., 4 mars 2005, Larcier cass., 2005, p. 119, commenté par V. Guffens et T. Viane, in « De gemene muur. Een stand van zaken », T.B.O., 2005, p. 143, n° 50. |
[7] |
Voy. P. Lecocq, Manuel de droit des biens, tome I - Biens et propriété, op. cit., p. 259. Voy., en jurisprudence, Civ. Liège, 30 avril 2003, J.T., 2004, p. 32 et J.P. Grâce-Hollogne, 28 octobre 2003, cette revue, 2005, p. 1258. |
[8] |
Voy. Cass., 6 janvier 2003, cette revue, 2003, p. 1233 ; Cass., 4 mars 2005, Larcier cass., 2005, p. 119. Voy. N. Vandeweerd, « Questions choisies de droit des biens. Deuxième partie : la mitoyenneté », in Chroniques du droit à l'usage des juges de paix et de police, 2004, cahier n° 43, p. 52, n° 109 ; L. Coenjaerts, « La mitoyenneté », in J.-Fr. Romain (sous la direction de), Droits réels. Chronique de jurisprudence 1998-2005, Dossiers du J.T., n° 63, Bruxelles, Larcier, 2007, p. 174, n° 165 ; P.-P. Renson, « Le point sur l'accession immobilière et la mitoyenneté », op. cit., p. 199, n° 56. |
[9] |
Voy. notamment Cass., 2 juin 1977, R.C.J.B., 1978, p. 440 ; Cass., 22 février 1985, J.T., 1986, p. 234 ; Cass., 18 février 1983, Tijd. Not., 1983, p. 383 et conclusions du procureur général E. Krings ; Cass., 22 juin 1990, R.W., 1990-1991, p. 779 ; Cass., 23 octobre 1992, Larcier cass., 1992, p. 228 ; Cass., 28 juin 2001, Larcier cass., 2001, p. 255. |
[10] |
Voy. H. Declercq, Mur mitoyen, mur à chagrin, Bruxelles, La Charte, 1996, p. 31. L'auteur remet en question la jurisprudence de la Cour de cassation en lui reprochant de ne pas tenir compte de l'évolution de la technique, qui mène à ce qu'un certain nombre de constructeurs renonce volontairement à la fonction portante du mur voisin. Il conviendrait dès lors, selon cet auteur, de prendre en compte l'utilisation des autres fonctions essentielles du mur voisin en vue de déterminer s'il y a ou non prise de possession. Pour une critique de cette théorie, voy. N. Vandeweerd, « Acquisition forcée de la mitoyenneté : état de la question », J.J.P., 2003, p. 314 ; J. Kokelenberg, Th. Van Sinay et H. Vuye, « Overzicht van rechtspraak. Zakenrecht. 1994-2000 », T.P.R., 2001, p. 1040. |
[11] |
Voy. notamment Cass., 22 février 1985, Pas., 1985, I, p. 772 ; Cass., 22 juin 1990, Pas., 1990, p. 1212 ; Cass., 4 décembre 2003, J.J.P., 2004, p. 386 ; Cass., 4 mars 2005, Larcier cass., 2005, p. 119. |
[12] |
Voy. Civ. Gand, 14 juin 2004, T.G.R., 2004, p. 281 ; J.P. Eeklo, 6 avril 2000, T.G.R., 2000, p. 161. |
[13] |
Nous envisageons ici les décisions les plus récentes. Pour des décisions antérieures, voy. notamment Gand, 19 janvier 1999, R.W., 1999-2000, p. 1403, note A. Carette, « Nogmaals over de bezitsaanmatiging nodig om tot gedwongen gemeenmaking van muren over te gaan », commenté par J. Kokelenberg, Th. Van Sinay et H. Vuye, in « Overzicht van rechtspraak. Zakenrecht. 1994-2000 », op. cit., p. 1039 et par N. Vandeweerd, in « Acquisition forcée de la mitoyenneté : état de la question », op. cit., p. 309 ; J.P. Marchienne-au-Pont, 2 octobre 1998, cette revue, 1999, p. 467, commenté par J. Hansenne, in « Les biens », Chronique de droit à l'usage du notariat, op. cit., p. 76, n° 29. |
[14] |
Voy. J.P. Molenbeek-Saint-Jean, 20 janvier 2004, J.T., 2005, p. 38, commenté par P.-P. Renson, in « Le point sur l'accession immobilière et la mitoyenneté », op. cit., p. 206, n° 64 et par L. Coenjaerts, in « La mitoyenneté », op. cit., p. 180. |
[15] |
« Couvre-joint formé de mortier, de tuiles, d'ardoises, etc., pour garnir la jonction de deux plans, calfeutrer un vide, assurer l'étanchéité » (Le Petit Larousse illustré, Paris, Larousse, 2001, p. 949). |
[16] |
Voy. J.P. Grâce-Hollogne, 16 mai 2000, cette revue, 2001, p. 659. |
[17] |
Voy. Civ. Anvers, 24 septembre 2007, T.B.O., 2008, p. 157, commenté par S. Boufflette, in « Droit des biens : propriété et copropriété », Chron. not., vol. 54, Bruxelles, Larcier, 2011, p. 58, n° 21. |
[18] |
Voy. J. Hansenne, Les biens, Précis, op. cit., p. 989, n° 971. |
[19] |
Voy. J. Hansenne, « Les biens », Chronique de droit à l'usage du notariat, vol. XXXI, Bruxelles, Larcier, 2000, p. 77, n° 29. |
[20] |
Voy. également J.P. Halle, 24 janvier 2007, R.G.D.C., 2009, p. 131 ; Civ. Bruxelles, 15 mars 2005, R.W., 2005-2006 ; J.P. Ostende, 21 janvier 2004, Res jur. imm., 2006, p. 116 ; J.P. Charleroi, 7 juin 1999, cette revue, 2000, p. 482 ; J.P. Kapellen, 12 juin 1996, R.W., 1998-1999, p. 128, note A. Carette ; J.P Asse, 19 novembre 1991, J.J.P., 1992, p. 168 ; Civ. Nivelles, 29 mars, 1988, J.T., 1988, p. 35 ; J.P Kontich, 30 novembre 1987, Entr. et dr., 1989, p. 289, note J. De Fré. |
[21] |
Voy. J.P. Alost, 3 avril 2007, T.G.R., 2007, p. 302, commenté par S. Boufflette, in « Les biens », Chron. not., vol. 48, Bruxelles, Larcier, 2008, p. 66, n° 49. |
[22] |
Voy. J.P. Saint-Nicolas, 13 octobre 2011, cette revue, 2013, p. 509. |
[23] |
« Dalle épaisse en maçonnerie ou en béton qui constitue la fondation d'un ouvrage, le plancher d'une fosse, d'un canal » (Le Petit Larousse illustré, Paris, Larousse, 2001, p. 849). |
[24] |
Voy. Civ. Bruxelles, 3 février 2012, Res jur. imm., 2012, p. 354. |
[25] |
Traduction libre. |
[26] |
La Cour relève qu'un immeuble nouvellement construit imprime en effet des charges importantes au sol et entraîne un tassement de ce sol, notamment le long du pignon de l'immeuble voisin. En vue d'éviter un basculement de cet immeuble, il convient d'en renforcer les fondations. |
[27] |
Voy. P. Lecocq, Manuel de droit des biens, tome I - Biens et propriété, op. cit., p. 260. |